Le film

Rassemblement Lozère 03/06 : Gorges de la Jonte et du Tarn

Nous arrivons à Florac, le vendredi vers 16h. Nous nous installons rapidement au gîte. Les premières gouttes de pluie font leurs apparitions pendant que nous assistons Anne pour l’essai de son vélo (qu’elle a acheté juste la veille, un Cannondal R500) et surtout pour sa découverte des pédales automatiques. Quelques conseils, et la voilà partie. Au premier arrêt : c’est la chute, sans gravité heureusement. Elle remonte puis disparaît en nous laissant dans l’inquiétude. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît et confirme sa maîtrise des pédales.

Franck (M5) nous rejoint à Florac. Le temps est très couvert et la température autour des 15°. Nous nous dirigeons vers le col du Prejuret. Les filles montent en voiture jusqu’au col (n’oublions pas qu’Anne n’a que quelques sorties de 30km avec un VTT). Au col, la température se rapproche des 10°, le vent est très fort. Nous attaquons la descente vers les gorges de la Jonte (30km), après s’être bien couverts. Le site est magnifique, seul le soleil nous fait défaut.

Nous rejoignons les gorges du Tarn, Gilbert nous attend aux Vignes pour la pause casse-croûte. En arrivant, nous trouvons buffet dressé : sandwichs divers, taboulé, tomate, huile d’olive, sucrerie et biscuits. Bravo Gilbert, quelle maîtrise de l’intendance.

Nous repartons assez rapidement car le temps est menaçant, les 10 km suivants se font sous la bruine. Enfin vers la sortie des gorges le soleil fait son apparition. Petit détour par Quézac où tout le monde est déçu de n’avoir pas vu la source, il est 17h30 quand nous arrivons à Florac, les filles sont en forme et parlent déjà de la journée de demain.
Au compteur pour les filles 95 km, les garçons 120km

Hauterive

Castelbouc

 

Corniche des Cévènnes


Cette fois-ci pas de voiture pour les filles, nous démarrons tous ensemble de Florac où plane au-dessus de nos têtes un brouillard bien épais. Des que nous prenons un peu de dénivelé, nous sortons de la mer de nuages, le panorama est superbe.

L’ascension vers le premier col se mérite, Marie avec son dolphin à 15kg et ses moyeux déore (les plus pourris de la terre) ne se laisse pas impressionner (courageuse la marie) La traversée du Causse est dès plus dépaysante

puis la descente par la corniche des Cévennes nous octroie des paysages superbes.

Au fur et à mesure que nous nous rapprochons de St jean du Gard, la température augmente, pour finir par être presque étouffante dans la dernière descente. Il est 15h lorsque nous arrivons à St Jean du Gard. Gilbert me ramène à Florac pour récupérer ma voiture pendant que les filles et Cyrille, nous attendent tranquillement.
Au compteur 60 km